Anne Sinclair et Dominique Strauss Khan, le 26 août 2006 à La Rochelle, lors de l’université d’été du parti socialiste.REUTERS/DANIEL JOUBERT
“Violeur, Dominique Strauss-khan? Voilà une terrible calomnie.” Dans sa biographie autorisée, Le Roman vrai de DSK (éd. du Moment, 2011), Michel Taubmann posait déjà la question qui hante les esprits depuis l’inculpation du patron du FMI. Même si l’épisode new-yorkais n’avait pas eu lieu, DSK aurait sans doute été amené, au cours de la campagne présidentielle, à s’expliquer sur certains aspects de sa vie privée.
Libération a ranconter lundi que DSK avait lui-même évoqué son rapport aux femmes comme l’un des principaux reproches qui pourraient lui être adressés dans sa campagne présidentielle. “Oui, j’aime les femmes… Et alors ? (…) Depuis des années on parle de photos de partouzes géantes, mais je n’ai jamais rien vu sortir… Alors qu’ils les montrent !”, lançait-il quelques semaines avant son arrestation à New York.